Lesgens qui viennent au rĂ©veillon savent que le repas n'est pas cher mais que les fonds sont destinĂ©s Ă des familles. Alors Mesdames et Messieurs de la Sacem arrĂȘtĂ© de
Yparaßt que si tu fais pas signer des papiers sacem prouvant que ton titre à a été diffusé , tu touches que dalle et les radios ne signalent pas la diffusuion de tes oeuvres. si il y a des personnes qui rencontre ce problÚme et savent comment ne pas se faire avoir pour réellemtent toucher ses droits , à vous la parole.
LadĂ©marche de la Sacem est lĂ©gale. Car comme lâexplique Jean-FĂ©lix Choukroun, le directeur du service client de la Sacem, auprĂšs du Parisien, cette « dĂ©marche est lĂ©gale ».Et pour ce faire, il se base sur lâarticle L. 122-2 du code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle et sur plusieurs jurisprudences qui prĂ©cisent quâun hĂ©bergeur doit
Jetiens des gites et chambres d'hÎte. J'y ai installé des vieux téléviseurs pour lesquels je paie une redevance par télé, soit environ 650 ⏠par an. Je me vois obligée de
Re Mobil home et coronavirus. Vous avez signĂ© un contrat oĂč vous acceptez de payer pour 12 mois et de ne vous en servir que 4. De mĂȘme que vous avez acceptĂ© d'acheter un bungalow sans ĂȘtre
Vay Tiá»n Nhanh Ggads. Diffuser de la musique dâambiance dans votre commerce Pour diffuser de la musique dâambiance dans votre Ă©tablissement restaurant, magasin, agence, cabinet, parking, etcâŠ, vous aurez Ă choisir entre diffuser de la musique commerciale soumise aux droits dâauteurs, ou de la musique libre de droits Sacem. Les solutions les plus accessibles comme la radio, les CD ou le streaming youtube, deezer, spotify sont toutes des sources musicales soumises Ă la redevance de droits Sacem. Quitte Ă payer des droits Sacem, il sera alors intĂ©ressant de se faire accompagner par un service de musique dâambiance pour les professionnels, comme Wazo music, afin de crĂ©er un univers de marque et une expĂ©rience de vente. Si au contraire vous souhaitez Ă©viter de payer une redevance de droits dâauteur Ă la Sacem pour diffuser votre musique dâambiance, vous ne pourrez pas vous contenter dâutiliser une source de musique gratuite comme la radio ou le streaming, car vous vous exposerez Ă un contrĂŽle de la Sacem. Il vous faudra prouver que vous utilisez exclusivement un rĂ©pertoire musical non dĂ©posĂ© Ă leur rĂ©pertoire avec une licence lĂ©gale des auteurs concernĂ©s. Orientez-vous alors vers les offres lĂ©gales de musique dâambiance libre de droits Sacem. Quâest-ce que la musique libre de droits Sacem ? La musique dite âlibre de droitsâ signifie quâelle nâest pas inscrite au rĂ©pertoire de la Sacem. Elle nâest donc pas sujette Ă la redevance de droits dâauteur. Pour lâutiliser lĂ©galement, vous devez rĂ©munĂ©rer directement les crĂ©ateurs de la musique que vous utilisez au moyen dâune licence lĂ©gale. Les licences sont dĂ©livrĂ©es par un Ă©diteur ou un distributeur comme Wazo Music. Il faut donc vous abonner Ă une service de musique libre de droits Sacem qui vous dĂ©livrera une attestation pour prouver que la musique utilisĂ©e nâest pas inscrite au rĂ©pertoire de la Sacem et que leurs auteurs vous concĂšdent leurs droits de diffusion. Chez Wazo Music, nous vous proposons une offre de musique libre de droits complĂšte et Ă©conomique avec un rĂ©pertoire de plus de 10 000 titres de tous les genres musicaux. Nous vous dĂ©livrons une attestation annuelle pour Ă©viter la redevance de droits Sacem tout en vous permettant de diffuser lĂ©galement une identitĂ© musicale adaptĂ©e Ă votre marque. Nous proposons aussi la crĂ©ation de vos contenus audios Ă la demande annonces, pub, jingle et les intĂ©grons Ă votre radio de marque selon vos besoins. Comment ne pas payer les droits Sacem ? Les utilisateurs de musique doivent de fait payer des droits dâauteurs. La Sacem applique donc un tarif gĂ©nĂ©ral suivant un barĂšme correspondant Ă chaque secteur dâactivitĂ©. Elle fait des contrĂŽles frĂ©quents dans les lieux de diffusion pour vĂ©rifier si les entreprises diffusent de la musique. Si vous utilisez de la musique commerciale, vous pouvez faire prĂ©alablement une demande dâautorisation de diffusion de musique sur le site de la Sacem pour bĂ©nĂ©ficier dâune rĂ©duction de 20% sur le tarif gĂ©nĂ©ral. Si vous utilisez de la musique libre de droits Sacem, vous nâavez rien Ă faire. Conservez lâattestation de votre sonorisateur dĂ©montrant que vous diffusez exclusivement un rĂ©pertoire musical non inscrit Ă la Sacem. Lors dâun Ă©ventuel contrĂŽle, vous nâaurez plus quâĂ prĂ©senter lâattestation Ă jour pour justifier votre situation et ne pas payer la redevance de droits dâauteur. Lâoffre libre de droits Sacem de Wazo Music Afin de vous accompagner au mieux dans la sonorisation de vos Ă©tablissements, Wazo Music Ă prĂ©vu une offre de musique commerciale et une offre de musique libre de droits. Nous crĂ©ons aussi votre radio dâenseigne et son habillage audio jingle, annonces avec une sĂ©lection musicale personnalisĂ©e et un planning de diffusion adaptĂ© au fonctionnement de votre activitĂ©. La musique libre de droits est accessible en abonnement annuel par point de vente. Notre rĂ©pertoire propose 10 000 titres dans tous les genres musicaux et est mis Ă jour rĂ©guliĂšrement. Nous fournissons lâattestation de rĂ©pertoire libre de droits destinĂ© Ă la Sacem qui vous permettra de ne pas payer de droits dâauteur. Attention la musique libre de droits reste soumise Ă la redevance SprĂ© pour la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable. La redevance SprĂ© est une redevance de droits voisins du droit dâauteur destinĂ©e aux autres ayants droits tels que le producteur ou lâinterprĂšte. La redevance de droits de la SprĂ© est collectĂ©e par la Sacem, et reprĂ©sente en gĂ©nĂ©ral 65% du montant dĂ» Ă la Sacem. Les offres de musique libre de droits sont toujours plus Ă©conomiques, contactez-nous pour obtenir un devis en 24h !
Vous souhaitez tout savoir sur la rĂ©alisation et la qualitĂ© de vos messages sonores, ou sur les droits SACEM et SCPA ? Consultez notre FAQ, vous trouverez sĂ»rement une rĂ©ponse Ă votre question. Pour plus de renseignements, nâhĂ©sitez pas Ă appeler notre service client. SACEM ET SCPA Utilisation d'une musique sur le rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique Quelles sont mes obligations de diffuseur de musique ? Combien dois-je payer Ă la SACEM et/ou Ă la SCPA ? Je change de musique plusieurs fois par an. Dois-je payer la redevance Ă chaque changement ? Qui dĂ©clare Ă la SACEM et la SCPA les musiques utilisĂ©es ? Comment me procurer les formulaires de dĂ©claration auprĂšs de la SACEM et SCPA ? Les messages de communication sonore Quel message utiliser et pour quel usage ? Sur le site Voxelis, je ne trouve pas la musique que je veux . Que faire ? Je souhaite actualiser mes annonces plusieurs fois dans l'annĂ©e. Comment le gĂ©rer simplement ? QualitĂ© des messages et du son Quel est l'impact qualitĂ© de la Voix-sur-IP VoIP ou de l'Ă©coute sur rĂ©seau mobile? Lorsque j'entends ma musique d'attente, je tombe en plein milieu d'une phrase, est ce normal ? L'enregistrement sur mon rĂ©pondeur n'est pas de bonne qualitĂ©. Pourquoi ? L'enregistrement rĂ©alisĂ© par Voxelis n'apporte pas la qualitĂ© espĂ©rĂ©e. Pourquoi ? SACEM ET SCPA Utilisation d'une musique sur le rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique Quelles sont mes obligations de diffuseur de musique ? Tout diffuseur de musique sur le rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique doit rĂ©munĂ©rer les artistes-compositeurs, les interprĂštes et les producteurs des musiques utilisĂ©es. Les droits de diffusion SACEM rĂ©munĂšrent lâartiste-compositeur et lâĂ©diteur ou leurs ayants droit aprĂšs leur mort. La redevance de droits d'auteur ne dĂ©pend ni de l'Ćuvre choisie, ni de sa durĂ©e. Les Ćuvres musicales tombent dans le domaine public 70 ans aprĂšs la mort de lâartiste, mais dans la mesure oĂč lâarrangeur de la partition chef dâorchestre,⊠est considĂ©rĂ© comme un auteur, mĂȘme la musique classique est souvent soumise Ă des redevances SACEM. Les droits de diffusion SCPA SCPP et SPPF servent Ă rĂ©munĂ©rer les interprĂštes et les producteurs du phonogramme que vous utilisez. La dĂ©claration auprĂšs de ces deux sociĂ©tĂ©s civiles vous incombe et reste sous votre entiĂšre responsabilitĂ©. Dans le cas de lâutilisation de musiques "hors redevances" ou "hors droit" ou "libres de droit" proposĂ©es par VOXELIS dans son catalogue, nous vous fournirons une attestation Ă envoyer Ă ces organismes. Haut... Combien dois-je payer Ă la SACEM et/ou Ă la SCPA ? Le montant des redevances forfaitaires et annuelles est dĂ©terminĂ© par le nombre de lignes d'accĂšs au rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique entrantes et sortantes qui permettent Ă vos correspondants extĂ©rieurs de bĂ©nĂ©ficier simultanĂ©ment de l'attente musicale. Quel que soit le nombre de morceaux de musique utilisĂ©s, la redevance annuelle est dâenviron 40 euros TTC fois deux pour la SACEM et pour la SCPA par tranche de 5 accĂšs tĂ©lĂ©phoniques. A titre indicatif, voici les tarifs approximatifs arrondis au 01/01/2015 pour les deux sociĂ©tĂ©s, jusquâĂ 20 lignes soumis Ă TVA Nombre de lignes extĂ©rieures Tarif approx. annuel en ⏠HT SACEM Tarif annuel en ⏠HT SCPA Estimation totale ⏠HT 1 Ă 5 40 36 76 6 Ă 10 72 70 142 11 Ă 15 103 106 209 16 Ă 20 135 141 176 Pour des tarifs actualisĂ©s ou un plus grand nombre de lignes reportez vous aux tarifs en ligne de la SACEM voir le tarif et de la SCPA voir le tarif. Haut... Je change de musique plusieurs fois par an. Dois-je payer la redevance SACEM - SCPA Ă chaque changement ? Non, c'est un tarif forfaitaire pour l'annĂ©e, calculĂ© d'aprĂšs le nombre de lignes tĂ©lĂ©phoniques sonorisĂ©es. Sur vos bordereaux de dĂ©claration, vous indiquerez la liste des musiques d'attente tĂ©lĂ©phonique que vous avez utilisĂ©es. Elle permettra dâĂ©tablir une meilleure rĂ©partition aux auteurs et interprĂštes. Qui dĂ©clare Ă la SACEM et la SCPA les musiques utilisĂ©es ? C'est la sociĂ©tĂ© qui diffuse ces musiques d'attente qui doit les dĂ©clarer Ă ces organismes. Les studios VOXELIS ne communiquent pas les adresses des utilisateurs. Par ailleurs, en tant que producteur du mixage final voix/musique, nous nous acquittons dâun droit de reproduction de phonogramme » Ă chaque musique utilisĂ©e. Ce droit est compris dans nos prix. Comment me procurer les formulaires de dĂ©claration SACEM et SCPA ? Vous pouvez tĂ©lĂ©charger directement vos formulaires de dĂ©claration sur le site Internet de la SACEM et SCPA. Pour vos dĂ©clarations ou informations complĂ©mentaires, contactez SACEM 225, avenue Charles de Gaule - 92521 NEUILLY-SUR-SEINE CEDEX TĂ©l. 01 47 15 47 15 - SCPA 14, boulevard du GĂ©nĂ©ral Leclerc - 92527 NEUILLY-SUR-SEINE CEDEX TĂ©l. 01 41 43 74 80 - Fax 01 41 43 74 90 - Haut... Les messages de communication sonore Quel message utiliser et pour quel usage ? Aujourd'hui votre entreprise dispose de nombreuses possibilitĂ©s de diffusion d'annonces qui vous permettent d'optimiser votre accueil tĂ©lĂ©phonique. Ces fonctions vocales sont soit proposĂ©es de base sur votre PBX ou PABX, standard tĂ©lĂ©phonique, soit externes par la connexion de boĂźtiers supplĂ©mentaires. Voici une liste de fonctions vocales qui vous permettra de mieux comprendre les diffĂ©rents scĂ©narios d'accueil que vous pourrez diffuser dans votre entreprise Accueil tĂ©lĂ©phonique au fil de lâeau Ce message d'accueil tĂ©lĂ©phonique se dĂ©clenche pour chaque appel ou si le standard est occupĂ© en dĂ©bordement. Il est diffusĂ© en boucle parallĂšlement aux sonneries que l'appelant n'entend pas. Il est interrompu au moment oĂč l'appelĂ© dĂ©croche. Il a une fonction de mise en attente avant standard. Il limite ainsi les risques de perte d'appel. DurĂ©e prĂ©conisĂ©e 30 s. PrĂ©-dĂ©crochĂ© synchrone Ce message d'accueil se dĂ©clenche Ă chaque appel. Il est diffusĂ© intĂ©gralement puis l'appel est transfĂ©rĂ© au standard ou Ă un poste de l'installation. L'appelant entend donc un court message puis les sonneries jusqu'Ă la prise d'appel. Il peut servir de support de diffusion d'un message exceptionnel ou important. DurĂ©e prĂ©conisĂ©e 16 secondes maximum. Attente tĂ©lĂ©phonique Ce message de patience est diffusĂ© pendant le transfert d'appel ou la mise en garde et aprĂšs rĂ©ception de l'appel par la standardiste. On peut profiter de ce temps d'attente pour communiquer des informations relatives Ă votre entreprise. Plusieurs annonces peuvent se succĂ©der, avec des courtes pauses musicales. DurĂ©e 1, 2 ou 3 minutes. Consultez nos exemples d'annonces d'attente tĂ©lĂ©phonique. Standard Automatique ou Guide Vocal Ce message d'accueil permet Ă vos appelants de joindre directement un service ou un correspondant par le biais d'un menu vocal proposant plusieurs choix. RĂ©pondeur TĂ©lĂ©phonique Simple Ce message est diffusĂ© durant la fermeture SANS possibilitĂ© de dĂ©pĂŽt de message par vos clients. Son activation peut ĂȘtre programmĂ©e ou manuelle. Consultez nos exemples. RĂ©pondeur Enregistreur Ce message est diffusĂ© durant fermeture AVEC possibilitĂ© de dĂ©pĂŽt de message par vos clients. Son activation est programmĂ©e ou manuelle. Dissuasion Ce message est diffusĂ© lorsquâil y a saturation du trafic tĂ©lĂ©phonique. Il invite lâappelant Ă renouveler son appel. Haut... Sur le site Voxelis, je ne trouve pas la musique que je veux. Que faire ? Si câest une musique du commerce », donnez nous simplement ses rĂ©fĂ©rences titre/auteur et nous en ferons lâacquisition. Sinon vous pouvez nous adresser par mail au format mp3 ou par courrier sur CD votre musique pour la rĂ©alisation de vos messages. Je souhaite actualiser mes annonces plusieurs fois dans l'annĂ©e. Comment le gĂ©rer simplement ? Nous proposons des formules Ă reconduction annuelle dâun panier » de prestations spĂ©cialement composĂ© selon votre besoin messages en français, en anglais, tĂ©lĂ©chargementsâŠ. Ces formules sont avantageuses elles vous font bĂ©nĂ©ficier de tarifs dĂ©gressifs, dâun accĂšs gratuit Ă nos musiques hors droit soumis Ă conditions, et dâun suivi personnalisĂ© suggestions de musiques, programmation de vos opĂ©rations de communicationâŠ. Haut... QualitĂ© des messages et du son Quel est l'impact qualitĂ© de la Voix-sur-IP VoIP ou de l'Ă©coute sur rĂ©seau mobile? Certaines installations tĂ©lĂ©phoniques d'entreprise sont raccordĂ©es au rĂ©seau public par des liaisons opĂ©rateur en VoIP ou ToIP tĂ©lĂ©phonie sur IP. Ces liaisons n'ont pas les mĂȘmes caractĂ©ristiques de transport du son que des liens classiques -en gĂ©nĂ©ral plus faible en qualitĂ©. En particulier, certaines frĂ©quences, certains instrumentalisations musicales ont un rendu d'Ă©coute trĂšs mĂ©diocre Ă travers ces liens ToIP. Il existe parfois une marge d'amĂ©lioration possible en augmentant la qualitĂ© de service auprĂšs de l'opĂ©rateur QoS, codec, bande passante..., mais notre conseil est d'anticiper cette situation et de choisir une musique compatible. Nous avons dĂ©jĂ prĂ©-identifiĂ©, dans notre catalogue musical, une sĂ©lection de titres qui ont un rendu qualitĂ© correct en ToIP. Vous les retrouvez en recherchant le mot clĂ© "toip" dans le catalogue. Nous pouvons aussi rĂ©aliser une validation sur nos bancs de test de n'importe quel titre musical que vous souhaitez qualifier. Des problĂšmes similaires peuvent apparaĂźtre sur les rĂ©seaux mobiles, et nous rĂ©alisons les 2 tests simultanĂ©ment. Lorsque j'entends ma musique d'attente, je tombe en plein milieu d'une phrase, est ce normal ? Oui, l'attente musicale diffuse en boucle ou au fil de lâeau », et lâappelant tombe Ă n'importe quel endroit de l'enregistrement contrairement Ă ce qui arrive dans le cas dâun rĂ©pondeur ou dâun prĂ© dĂ©crochĂ© synchrone. Pour en savoir plus sur les diffĂ©rents types de messages, voir ici. L'enregistrement sur mon rĂ©pondeur n'est pas de bonne qualitĂ©. Pourquoi ? C'est probablement un problĂšme de matĂ©riel si vous ĂȘtes Ă©quipĂ©s dâun rĂ©pondeur grand-public » distribuĂ©s dans le commerce, celui-ci peut ne pas avoir une bonne qualitĂ© audio. Seuls les produits professionnels comme notre gamme de matĂ©riel de diffusion sonore ont une fonction dâattente et rĂ©pondeur simple, et vous permettent une diffusion de bonne qualitĂ©. L'enregistrement rĂ©alisĂ© par Voxelis n'apporte pas la qualitĂ© espĂ©rĂ©e. Pourquoi ? Si le fichier sonore fourni par Voxelis est satisfaisant Ă lâĂ©coute sur votre PC, alors il est probable que le dĂ©faut de qualitĂ© vient dâun chargement du message mal rĂ©alisĂ© niveau trop fort ou trop faible, saturation, coupure.... Nous vous conseillons de renouveler lâopĂ©ration en ayant remis les niveaux sonores de diffusion au minimum puis de les ajuster. Si le problĂšme persiste, on pourra mettre en cause un problĂšme de matĂ©riel raccordement Ă lâautocom... ou la diffusion sur des lignes en Voix-sur-IP ou mobile. Dans tous les cas contactez votre installateur en tĂ©lĂ©phonie qui fera le diagnostic technique avec nos services. Nous prĂ©conisons d'utiliser un boĂźtier diffuseur en tĂ©lĂ©chargement IP pour limiter les sources d'erreurs et respecter la qualitĂ© initiale d'enregistrement. Haut... Dans les fiches mĂ©tier de notre Glossaire, vous trouverez d'autres indications simples sur les pratiques de l'attente tĂ©lĂ©phonique pour les entreprises
Auteur Message patoche69 Special Cool utilisateur Inscrit le 10 Sep 03 Localisation saint martin du mont 01 PubliĂ© par patoche69 le 18 Jun 04, 1140 Hello ! Petite question juridique sans vouloir saouler personne ;- 1 on a un groupe , on joue des reprises , on joue dans des bars et on nous paye quelques petits âŹuros 2 Question Quelle est la solution pour jouer en toute lĂ©galitĂ© ? payer un droit Ă la Sacem ? Ă l'urssaf ? se declarer en association ? Merci pour l'info ! Patrice Haut Zappaddict Custom Total utilisateur Inscrit le 07 Apr 04 Localisation voie lactĂ©e Ă + de 360 m/sec dans un vaisseau appelĂ© " Terre " PubliĂ© par Zappaddict le 18 Jun 04, 1156 patoche69 a Ă©crit 1 on a un groupe , on joue des reprises , on joue dans des bars et on nous paye quelques petits âŹurosSi vous en faites assez et que le patron est pret Ă vous declarer ; vous etes intermittent du spectacle... patoche69 a Ă©crit 2 Question Quelle est la solution pour jouer en toute lĂ©galitĂ© ? payer un droit Ă la Sacem ? Ă l'urssaf ? se declarer en association ?J' en sais rien ,mais faites gaffe avec l' ursaff.... Haut patoche69 Special Cool utilisateur Inscrit le 10 Sep 03 Localisation saint martin du mont 01 PubliĂ© par patoche69 le 18 Jun 04, 1410 up Haut Waggy Special Top utilisateur Inscrit le 07 May 04 Localisation Caen PubliĂ© par Waggy le 18 Jun 04, 1523 up pour patrice Haut dafi Custom MĂ©ga utilisateur Inscrit le 08 Nov 02 Localisation paris PubliĂ© par dafi le 18 Jun 04, 1525 en deça d'un certain revenu par an, on ne dĂ©clare pas Ă l'urssaf. Si vous gagnez de quoi comment Ă se dire "j'arrĂȘte mon boulot et je fais de la musique Ă plein temps" alors vous vous poserez le problĂšme de l'urssaf... avant Ă mon avis ça sert Ă rien. Haut DOCTOR D Vintage Cool utilisateur Inscrit le 08 Oct 03 Localisation Conflans Ste Honorine PubliĂ© par DOCTOR D le 18 Jun 04, 1601 Avant de devenir intermittent, monter une association et y faire figurer son groupe est un bon compromis, en plus c'est vraiment transparent au niveau fiscal. En plus y'a pas mal de salles qui ne sont accessibles qu'aux associations... et pour negocier un cachet ça te donne davantage de credibilite Il faut etre rigoureux mais si tu es motive et que tu envisages la musique a long terme meme sans en faire ton metier, je ne connais pas mieux, pour TREMENS ça a change notre vie Haut onzieme diese Vintage Total utilisateur Inscrit le 17 Aug 03 Localisation Paris 19e PubliĂ© par onzieme diese le 18 Jun 04, 1755 utilise le "guichet unique". par contre, sache que les charges sont importantes, donc -soit l'employeur les paye normal, ce sont des "charges patronales" cachet de 75⏠+ charges = ??? moi je passe par une association artemuse, donc c'est plus cher que le guichet unique, ça coĂ»te 76 ⏠à l'employeur. 75+76= 152⏠pour une personne. -soit il n'a pas assez de tunes, et te dit de te le carrer bien profond... dans ce cas, 1-tu peux toi mĂȘme payer ces charges pour que tout soit en rĂšgle. donc ton cachet du bar mettons 75⏠devient un cachet TTC !!!!!!! donc tu toucheras in fine un peu plus que la moitier 38⏠en gros 2-tu prends la tune on appelle ça du travail au noir, ou de la fraude Ă la fiscalitĂ© du travail et tu te casses. et tu oublies le fait d'avoir le statut de musicien intermittent, et ce qui va avec indemnitĂ©s de prĂ©caritĂ©, existance vis Ă vis de l'assedic, etc. notre cher gouvernement qui veut aider la culture et les catĂ©gories sociales dĂ©favorisĂ©es vient d'annoncer qu'il veut multiplier les contrĂŽles et nommer 85 nouveaux inspecteurs pour ce domaine. donc ne t'inquiĂšte pas, les bars qui font de la musique non dĂ©clarĂ©e vont bientĂŽt arrĂȘter, soit par fermeture administrative, soit par prĂ©caution peur des amendes. certains d'entre eux fermeront beaucoup de bars ferment depuis 1 Ă 3 ans, d'autres vont survivre en faisant autre chose, et les bars qui dĂ©clarent te seront TOTALEMENT inaccessibles car ils seront pris d'assaut par les pros expĂ©rimentĂ©s et il n'y aura plus du tout de caf-conç et de musique live "populaire". mais c'est pas grave, car les classes moyennes seront heureuses avec leur petit pavillon Ă crĂ©dit, leur TV, et leur sacro-sainte tranquilitĂ© parce que ces jeunes dans les bars, qui font de la musique, quelle nuisance... Haut Asgiliath Custom Cool utilisateur Inscrit le 14 Jan 04 Localisation Gif-sur-Yvette 91, France PubliĂ© par Asgiliath le 18 Jun 04, 1805 Et ben, C pas trĂšs encourageant tt ça... Haut InvitĂ© Inscrit le 03 Apr 04 Localisation - PubliĂ© par InvitĂ© le 18 Jun 04, 1832 bientĂŽt y'auras que les pros ou ceux qui ont les moyens qui pourront faire des concerts.. c'est vraiment lamentable tous ces bars qui ferment. c'est vraiment dommage bientĂŽt il n'y aura peut-ĂȘtre plus aucun concert gratuit nulle part a part la fĂȘte de la musique ou on peut dĂ©couvrir des bons groupes amateurs. la musique sera rĂ©servĂ©e aux riches. encore 3 ans Ă tenir et on pourra virer ce gouvernement de merde qui ne pense qu'Ă la thune que va rapporter la culture. non au formatage. Haut sarssipius Vintage Total utilisateur Inscrit le 12 Dec 03 Localisation France PubliĂ© par sarssipius le 18 Jun 04, 1849 onzieme diese a Ă©crit et il n'y aura plus du tout de caf-conç et de musique live "populaire". mais c'est pas grave, car les classes moyennes seront heureuses avec leur petit pavillon Ă crĂ©dit, leur TV, et leur sacro-sainte tranquilitĂ© parce que ces jeunes dans les bars, qui font de la musique, quelle nuisance... Ca me rappelle comment certaines dictatures ont tentĂ© tuer la culture... Gerbant... Haut patoche69 Special Cool utilisateur Inscrit le 10 Sep 03 Localisation saint martin du mont 01 PubliĂ© par patoche69 le 19 Jun 04, 0010 Merci Ă vous ! La rĂ©ponse n'est pas trĂšs simple manifestement... Bon on va quand mĂȘme continuer dans nos bons vieux bars et autres petites minuscules salles de "pectacle" Pat Haut
A lâheure ou une consultation citoyenne est lancĂ©e par lâexĂ©cutif en France, il mâest apparu que le moment Ă©tait propice pour alerter politiques, mĂ©dias, et citoyens, sur le statut particulier dont jouit une certaine entreprise du pays, et ce de longue date, dans une Europe dans laquelle la philosophie de la concurrence a Ă©tĂ© instituĂ©e comme ligne directrice. Philosophie au nom de laquelle lâĂ©tat français dĂ©mantĂšle les services publics et pire encore vu que depuis maintenant quelques temps bien des citoyens qui vivaient dâactivitĂ©s privĂ©es en cadrĂ©es perdent leur outil de travail dans nombre de professions suite Ă une libĂ©ralisation sauvage qui envahit les marchĂ©s. Câest ainsi que loueurs, restaurateurs, chauffeurs de taxis et jâen passe sont impactĂ©s par cette libĂ©ralisation qui de fait, fait sauter les verrous des rĂšgles jusque lĂ en vigueurs qui protĂ©geaient leurs professions. Oui, une certaine fuite en avant opĂ©rĂ©e dans le cadre de lâĂ©conomie de marchĂ© conduit depuis quelques temps Ă des situations que lâon peut qualifier de discriminatoires pour ces gens du fait quâelle ne touchent pas tous les secteurs de lâĂ©conomie. Câest Ă ce titre que pour rĂ©tablir une Ă©quitĂ© battue en brĂšche, afin quâelle ne devienne pas moribonde, qu'au nom dâun droit que je qualifie Ă deux vitesses, je viens aujourdâhui contester les situations de monopole et de domination qui continuent dâĂȘtre accordĂ©es Ă certaines entreprises privĂ©es parmi lesquelles La SACEM. Une organisation qui du fait de la non ingĂ©rence dans sa gestion que lui confĂšrerait son statut dâentreprise privĂ©e se permet en toute impunitĂ© de laisser cours Ă des pratiques plus que contestables au regard des droits des citoyens parmi lesquels au premier chef nombre de ses propres sociĂ©taires dont je suis. Câest ce que je vais mâattacher Ă montrer dans cet article. Mais pour bien comprendre ce que jâavance, et les argumentations que je dĂ©veloppe qui mettent Ă mal des maniĂšres de faire que je nâhĂ©site pas Ă qualifier de dĂ©lictueuses, un peu dâhistoire sâimpose. Historique trĂšs succinct, pour les nuls. La SACEM est un organisme qui a Ă©tĂ© créé le 28 fĂ©vrier 1851. Lâhistoire raconte que deux personnes entrĂ©es dans un estaminet plein Ă craquer y dĂ©couvraient que des musiciens jouaient leurs compositions pendant que les gens consommaient. Devant lâinjustice qui leur sauta aux yeux des bĂ©nĂ©fices induits que procuraient Ă son propriĂ©taire lâutilisation par des artistes interprĂštes de leurs crĂ©ations empruntĂ©es pour lesquelles ils nâavaient aucun droit, ils refusĂšrent de payer leurs consommations et portĂšrent lâaffaire devant la justice. A cette Ă©poque lĂ , les crĂ©ateurs vendaient Ă la sauvette leurs partitions dans la rue, ce qui Ă©tait le seul apport pour une Ćuvre de lâesprit. Jugeant la cause discriminatoire, la justice leur donna gain de cause. Quâest devenue cette belle idĂ©e 150 ans aprĂšs ? PassĂ©e au fil du temps du stade dâassociation Ă celui dâentreprise, cette organisation sans concurrence donc nâen finit pas de grandir. A lâheure de lâinformatique, elle a rĂ©cemment, suite Ă lâarrivĂ©e de nouveaux canaux de diffusion sur le web passĂ© des accords avec un certain nombre de plateformes musicales comme Itunes, Deezer, Dailymotion et dâautres diffuseuses de musique naturellement soumises Ă droits. Jusque la, rien dâanormal. Lâorganisation est dans le rĂŽle qui est le sien de dĂ©fendre ce quâelle appelle les intĂ©rĂȘts de ses sociĂ©taires crĂ©ateurs en allant naturellement chercher des droits de diffusion dont elle explique sur son portail quâils sont leur salaire. Il y a peu, elle a fait alliance avec la multinationale amĂ©ricaine IBM. Les deux sociĂ©tĂ©s ont contractĂ© pour 10 ans afin de co-dĂ©velopper URights, un outil automatisĂ© de facturation et dâanalyse des diffusions musicales sur les mĂ©dias numĂ©riques destinĂ© Ă remplacer le logiciel actuel Watson de son alliĂ©e auquel elle a confiĂ© la collecte de ses droits d'auteur numĂ©riques. Lâobjectif de cette alliance est naturellement dâassouvir une faim de croissance en crĂ©ant un consortium qui rĂšgnera sur le net. Je ne suis pas expert en droit et certainement tout cela est-il dans les rĂšgles qui rĂ©gissent le commerce international, bien quâune situation de monopole sur le territoire si elle finit un jour par ĂȘtre reconnue soit peut-ĂȘtre de nature Ă interdire un tel rapprochement. En attendant que cela soit, si cela devait ĂȘtre, il nous faut prendre acte dâune situation existante que bien que je la qualifie de monopole nâest pas jugĂ©e Ă ce jour antinomique avec les rĂšgles de dĂ©veloppement de lĂ©conomie de marchĂ© telle que notre vieille Europe Ă travers ses institutions la conçoit. Une politique dâexpansion et des pratiques Ă©tonnantes. Situation de monopole ou non, une chose est certaine, il y dans les fonctionnements de lâentreprise SACEM, et ce de longue date, des pratiques et une gestion qui ont vu graduellement le jour au fil du temps, dont je nâose imaginer que certains rĂ©ussissent Ă dĂ©montrer quâelles ne sont ni liberticides, ni discriminatoires et Ă ce titre condamnables et que de ce fait elles doivent disparaĂźtre et faire place Ă de nouvelles qui seront Ă©quitables et respectueuses de la libertĂ© et du droit dâun grand nombre de sociĂ©taires dont les intĂ©rĂȘts sont actuellement bafouĂ©s par lâorganisation. Compte tenu de la spĂ©cificitĂ© de cette organisation, bien quâelle soit privĂ©e, il est du devoir de lâĂ©tat français de se pencher sur ces pratiques que je vais faire apparaĂźtre et de mettre lâorganisation SACEM face Ă ses obligations. Mais la SACEM nâest pas la seule entreprise en cause dans le sujet que jaborde. On ne peut pas lorsque lâon parle dâelle ne pas lui associer dâautres organismes qui au nom dâune recherche de toujours plus de justice dans le cadre dâune lĂ©gitime rĂ©munĂ©ration du travail des artistes ont vu le jour au fil du temps La SPRE, lâADAMI, etc. Des Organismes avec lesquels elle a des liens directs ou indirects. Ce quâil faut savoir pour comprendre mes propos. 1- Devenir sociĂ©taire SACEM Un citoyen devient sociĂ©taire SACEM en signant un contrat dans lequel il est stipulĂ© que lâorganisation sâengage Ă dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts de crĂ©ateur Auteur, compositeur, auteur compositeurâŠ. Cette dĂ©fense sâapplique Ă la protection de ses crĂ©ations afin quâelles ne tombent entre les mains de possibles usurpateurs mais au quotidien elle consiste plus gĂ©nĂ©ralement Ă aller chercher pour lui des droits dâauteurs auxquels il peut prĂ©tendre. En Ă©change de ce service, le futur sociĂ©taire sâengage Ă lui confier toutes ses crĂ©ations prĂ©sentes et Ă venir sur laquelle elle exercera un droit qui ne lui appartiendra plus, exception faite du droit de regard au respect de la non dĂ©naturation de lâĆuvre. De fait il ne pourra plus en partir ! Dâailleurs, pour aller oĂč, vu la situation hĂ©gĂ©monique qui est la sienne. On peut le rĂ©sumer ainsi Devenir sociĂ©taire SACEM, câest en devenir prisonnier Ă vie ! Que voilĂ une pratique, oh ! Combien dĂ©jĂ surprenante dĂšs les origines, qui ne me semble plus en adĂ©quation avec les rĂšgles de fonctionnement des entreprises en Europe et le droit du travail au 21° siĂšcle. 2- Comment accĂ©der Ă des droits ? Pour cela, il faut que les crĂ©ations dâun sociĂ©taire soient diffusĂ©es En spectacle vivant, sur les ondes, sur des supports, internet etc.. Rares sont les crĂ©ateurs Ă qui des artistes interprĂštes vont prendre leurs crĂ©ations, aussi pour les faire dĂ©couvrir, un auteur compositeur AC sans renom va souvent devoir aller lui mĂȘme les interprĂ©ter en scĂšne. Il devient alors un auteur compositeur interprĂšte ACI qui pourra ĂȘtre tentĂ© dans un premier temps de le faire de maniĂšre amateur. Seulement voilĂ , le statut dâamateur nâexiste pas dans le monde artistique MĂȘme si il y a du nouveau dans le domaine depuis juillet 2016 oĂč une Ă©bauche a vu le jour sous la forme dâun texte de loi Voir Ă la fin de lâarticle. Il sera alors tentĂ© de prendre un statut dâauto-entrepreneur si il veut vivre lâexpĂ©rience de la professionnalisation, mais voilĂ , ça lui est interdit, au motif tout simplement que la profession dâartiste est protĂ©gĂ©e. De fait, quâil cherche Ă en faire mĂ©tier ou quâil ait comme projet, comme câest mon cas, simplement de vivre une passion il va finir par opter pour lâautoproduction. La seule solution qui lui reste possible via la plupart du temps une association support pour ĂȘtre en conformitĂ© avec la loi. 3- Le prĂ©lĂšvement des droits par la SACEM dans le cadre dâun spectacle vivant. Compte tenu du fait quâil y a donc obligation de par la loi pour notre ACI Ă passer par une structure de diffusion, la SACEM va sâadresser Ă cette structure pour prĂ©lever les droits affĂ©rents Ă un spectacle. Pour elle, le sociĂ©taire qui pour faire connaĂźtre ses crĂ©ations sâautoproduit » nâexiste pas vu quâil lui a cĂ©dĂ© la gestion de ses droits. Câest donc lâassociation tierce obligĂ©e qui doit faire Ă la SACEM la demande dâautorisation Ă utilisation des droits quâil lui a un jour rĂ©trocĂ©dĂ©s et en consĂ©quence, câest elle qui va payer pour cela. Par la suite, la SACEM reversera alors Ă lâauteur compositeur des revenus en fonction de ce que lâutilisation aura gĂ©nĂ©rĂ©. Des revenus dont il sâavĂšre quâils vont ĂȘtre bien infĂ©rieurs Ă la dĂ©pense occasionnĂ©e pour lâassociation. Pour information, cette rĂ©munĂ©ration si rĂ©munĂ©rations il ya⊠se fera entre 6 mois et un an aprĂšs avoir chantĂ©. Elle fera lâobjet dâun bulletin de paye et les sommes perçues seront imposables. Au passage, Ă ce jour la SACEM nâest pas en mesure de fournir le moindre barĂšme de rĂ©tribution. Personne ne peut dire combien est rĂ©ellement payĂ©e une chanson. Câest ainsi que des disparitĂ©s incomprĂ©hensibles pour le sociĂ©taire peuvent apparaĂźtre pour des mĂȘmes crĂ©ations chantĂ©es dans le mĂȘme lieu. A titre dâexemple pour un spectacle donnĂ© au chapeau qui occasionne le tarif le plus bas 51,48⏠TTC tva Ă p% payĂ©s par lâassociation support, le sociĂ©taire que je suis a rĂ©cemment touchĂ© lors dâune derniĂšre rĂ©partition 0,80 ⏠net par chanson. Soit pour un spectacle donnĂ© avec 20 de mes crĂ©ations 16âŹ. Au passage, pour ceux qui ne le sauraient pas, le prĂ©lĂšvement SACEM fait lâobjet dâun forfait. Si lâartiste ne chante quâune seule chanson, le prix rĂ©clamĂ© au diffuseur reste le mĂȘme 51,48âŹ. Pour celui qui dĂ©sire sâautoproduire en se faisant rĂ©tribuer ou non, ne soyons pas hypocrite, lâassociation support se trouve ĂȘtre un prĂȘte nom, et câest bien lâACI qui se retrouve ĂȘtre le payeur. VoilĂ comment la SACEM censĂ©e dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts dâun sociĂ©taire va au final lui ponctionner plus quâelle ne lui donne. VoilĂ comment un crĂ©ateur va, de maniĂšre dĂ©tournĂ©e, ĂȘtre obligĂ© de payer pour chanter ses propres chansons et en tirer des revenus trĂšs infĂ©rieurs. Bien sĂ»r, autorisation est faite de par la loi de faire passer un chapeau et si tel et le cas, le public va y mettre de lâargent me rĂ©torquera-t-on⊠Certainement. Mais quand vous avez louĂ© une salle, payĂ© une promotion, fait des kilomĂštres en dĂ©placement, achetĂ© et dĂ©placĂ© votre propre matĂ©riel Ă monter et Ă dĂ©monter, payĂ© un sonorisateur, un Ă©clairagiste, les chambres dâhĂŽtel, Il est peu probable que vous fassiez des bĂ©nĂ©fices⊠Et puis, vous pouvez vous produire tout simplement pour du plaisir partagĂ© dont il semblerait quâil doive ĂȘtre achetĂ© ! Il ressort de tout cela quâun statut particulier dans un domaine qui ne lâest pas moins qui ne fait pas de place Ă lâamateurisme amĂšne Ă une Ă©trange situation au nom de laquelle il est interdit de fait Ă un citoyen de chanter librement en public, ce qui dans une grande dĂ©mocratie comme la nĂŽtre interpelle un tant soit peu. 4- Pour information, les barĂšmes SACEM. Ci-joint un tableau des tarifs 2018 appliquĂ©s suivant le type de spectacle et de lieu. Remarque il est intĂ©ressant de noter que lâorganisme SACEM a 3 options pour faire payer les droits Ou un forfait ou un pourcentage ou sur les frais engagĂ©s. Dans le meilleur des cas câest le forfait qui prĂ©vaut, mais si un calcul au pourcentage sur la recette occasionne un gain supĂ©rieur, câest celui-ci qui est privilĂ©gie et surtout, si le montant des frais engagĂ©s pour un spectacle Location de salle + matĂ©riel + salaires artistes, personnels etc. permet une ponction au pourcentage supĂ©rieure aux deux autres possibilitĂ©s, câest celle lĂ qui sera retenue. Ce qui sous entend que pour une association qui investit beaucoup pour crĂ©er un spectacle, si le public ne rĂ©pond pas prĂ©sent, câest la catastrophe. Câest ainsi que lâon a pu voir rĂ©cemment des associations qui se lancent dans des projets que je qualifie fous, auxquels la puissance publique nâest pas toujours Ă©trangĂšre des projets largement aidĂ©s Ă grand renfort de subventions se retrouver avec des dettes abyssales de lâordre de avec dedans dus Ă la SACEM ! CF Lâassociation Lost in Limoges, dans ma rĂ©gion. 5- Une inflation dans les tarifs. A lâheure ou lâextension du marchĂ© potentiel de lâentreprise se dĂ©veloppe et que des gains faramineux voient le jour grĂące aux droits nouveaux apportĂ©s par les diffusions notamment sur internet, les tarifs SACEM pratiquĂ©s par lâorganisme subissent dans le cadre du spectacle vivant des augmentions bien supĂ©rieures Ă lâinflation que je nâhĂ©siterai pas Ă qualifier dâoutranciĂšres. Depuis 10 ans, les tarifs ont doublĂ© et lâaugmentation est toujours de plus en plus forte pour les petits spectacles alors que des baisses ont eu lieu rĂ©cemment sur les gros⊠Une comparaison entre les deux tableaux joint fait apparaĂźtre la rĂ©alitĂ© de mon propos. Ci-dessous le tarif pratiquĂ© en 2015, il y a 3 ans 2015. 6- Le droit dâinterprĂ©tation. Pour la SACEM, lâinterprĂšte nâexiste pas, mais un droit dâinterprĂ©tation a vu le jour en France le 24 fĂ©vrier 1955 oĂč suite Ă une jurisprudence une sociĂ©tĂ©, lâADAMI, a Ă©tĂ© créée. Le plaignant de lâĂ©poque, il Ă©tait seul, a convaincu la justice quâavec lâavĂšnement du phonographe et du disque le public allait dĂ©saffecter les salles de spectacles et que son mĂ©tier dâinterprĂšte allait ĂȘtre impactĂ© d'un part et que dâautre part il nây avait pas de raison que lâexploitation dâune voix diffusĂ©e sur des ondes ne soit pas rĂ©munĂ©rĂ©e puisque cette exploitation profiterait aux exploitants et aux crĂ©ateurs qui eux le seraient. Par la suite, des droits voisins sont Ă©galement nĂ©s pour entre autres les musiciens qui posent eux leurs instruments sur les supports audio. La SPRE est lâorganisme qui rĂ©partit ces droits que la SACEM prĂ©lĂšve pour elle. SACEM, SPRE, ADAMI travaillent de fait main dans la main⊠7- Un droit dâinterprĂ©tation pour qui et dans quelles conditions ? Il nous faut constater quâun artiste interprĂšte qui va sur une scĂšne nâest pas Ă©ligible Ă des droits dâinterprĂ©tation. Seuls le sont ceux qui ont posĂ© leur voix sur un support. Curieuse loi qui permet Ă lâun qui nâentreprend rien de bĂ©nĂ©ficier dâun droit sans travailler et sans investir, alors que celui qui le fait lui quand il sâautoproduit nâen bĂ©nĂ©ficie pas. Bien sĂ»r lâartiste ACI qui sâautoproduit peut Ă©galement avoir posĂ© sa voix sur un support et voir sa ou ses productions diffusĂ©es sur les ondes et Ă ce titre toucher des droits dâinterprĂšte et de crĂ©ateur. Seulement voilĂ , il ya Ă cela un bĂ©mol et de taille, câest quâalors que cela existait par le passĂ©, les mĂ©dias considĂ©rĂ©s petits ne permettent plus Ă nos artistes de jouir de ce droit. Seuls sont rĂ©tribuĂ©s les artistes dont les interprĂ©tations sont diffusĂ©es par des mĂ©dias triĂ©s sur le volet. Des artistes que jâappelle les Elus » du systĂšme qui se partagent environ, la moitiĂ© des droits que les divers organismes gĂšrent. On estime quâils reprĂ©sentent 1% des crĂ©ateurs et interprĂštes. 8- LâinterprĂ©tation dite radiophonique et le gain. Mais combien peut percevoir un artiste dont des crĂ©ations passent sur les ondes ? Les prix payĂ©s sont trĂšs divers puis quâils font lâobjet de marchandages entre SACEM, ADAMI et les diffuseurs⊠Pour information, une radio comme RTL arrive Ă payer 22⏠la minute de diffusion, ce qui fait 66⏠pour une chanson de 3 minutes⊠Un artiste comme Jean jacques Goldman touche en moyenne 11⏠par chanson sur les ondes françaises qui le diffusent en masse⊠Jean Jacques Goldman qui ne mouille plus la chemise en scĂšne de longue date. 9- Mais comment la SACEM fait-elle pour savoir ce qui a Ă©tĂ© chantĂ© par un ACI. En thĂ©orie, quand il fait une dĂ©claration de spectacle, un diffuseur se voit demander par la SACEM le rĂ©pertoire qui sera proposĂ© et une fois le spectacle terminĂ©, le diffuseur ou lâinterprĂšte situation ambigĂŒe⊠devra remettre Ă la SACEM un feuillet sur lequel seront portĂ©s les noms de lâauteur et du compositeur. Câest au vu du contenu de ces feuillets que des droits sont rĂ©partis. Cette pratique tend Ă disparaĂźtre au profit dâune gestion informatisĂ©e mais qui en reprend la mĂȘme forme. Et lĂ encore apparaissent ce que jâappellerais poliment des dysfonctionnements⊠Jâai pu constater Ă mes dĂ©pens que peu de feuillets ne sont pas envoyĂ©s au simple motif que trĂšs souvent les diffuseurs nâont pas connaissance de ces fameux feuillets ! Un enquĂȘte sur le sujet mâa permis de mette en Ă©vidence que nombre de diffuseurs nâĂ©taient pas informĂ©s par lâorganisme SACEM de leur existence. Pire, pour avoir moi mĂȘme envoyĂ© des feuillets aprĂšs mâĂȘtre rendu compte de la chose, jâai pu constater que ceux-ci nâĂ©taient pas pris en compte puisque rien ne mâa Ă©tĂ© payĂ©. Et bien sĂ»r, sur les petits mĂ©dias comme indiquĂ© plus haut, les feuillets ont disparu de la circulation⊠Pour la SACEM "Les droits sont le salaire du crĂ©ateur". Pour le crĂ©ateur Son salaire, câest dâabord le contenu et lâenregistrement des feuillets... Pour ce qui concerne lâinformatique, impossible pour un sociĂ©taire dâaccĂ©der aux listes de chansons qui ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es pour lui par un diffuseur, dâoĂč aucune possibilitĂ© de contrĂŽle de sa part pour savoir si cela a Ă©tĂ© fait ou non et qui plus est, apparemment impossible pour un diffuseur de ressortir une liste entrĂ©e pour la fournir Ă lâartiste demandeur ! Autant de constats qui mettent en Ă©vidence une faillite de gestion dont on est en doit de se demander si elle due Ă de lâamateurisme, de lâincompĂ©tence ou Ă une volontĂ© dĂ©libĂ©rĂ©e de privilĂ©gier un petit nombre au dĂ©triment de gĂȘneurs⊠». Une seule certitude, lâorganisme SACEM a aujourdâhui des allures de pĂ©taudiĂšre dont les gestionnaires ne respectent pas les contrats signĂ©s avec nombre de sociĂ©taires. 10-Conclusion Il apparaĂźt clairement quâil y a deux poids deux mesures dans la gestion des sociĂ©taires SACEM et des interprĂštes. Dâun cotĂ© des gens Ă©lus qui gagnent des sommes phĂ©nomĂ©nales sans aucun effort et de lâautre des travailleurs de lâombre qui souvent, câest mon cas, payent de leur poche et nâont quasiment aucun droit. A vu de ces constats, oĂč est le respect du contrat signĂ© par lâAC que je suis, avec la SACEM censĂ©e dĂ©fendre mes intĂ©rĂȘts. OĂč est le respect de lâinterprĂšte interdit de droits⊠Il me sera rĂ©torquĂ© que, en ce qui concerne l'interprĂ©tation la SACEM n'est pas concernĂ©e vu que c'est le rĂŽle de lâADAMI de gĂ©rer les revenus des interprĂšte. Sauf que LâADAMI est une des sociĂ©tĂ©s co-gestionnaire de la SPRE et que câest la SACEM qui est chargĂ©e de rĂ©colter les droits pour la SPRE ! IntĂ©ressant ces mariages... Il apparaĂźt de tout cela que le marchĂ© » que jâai contractuellement Ă©tabli un jour avec la SACEM se rĂ©vĂšle ĂȘtre un marchĂ© de dupe. 10- RĂ©flexion soumise Ă interrogation. Mais Ă propos. Câest quoi une chanson ? Quand jây regarde de prĂšs, moi jy vois Un texte + Une musique + Une voix pour la chanter Sans cette voix, paroles + musique ne sont que des signes cabalistiques sur un bout de papier. Sans interprĂšte s, la SACEM nâaurait jamais vue le jour et les crĂ©ateurs auraient Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă aller eux mĂȘme se produire pour faire vivre leurs crĂ©ations. 11- Mon point de vue Compte tenu de ce qui mâapparaĂźt ĂȘtre une Ă©vidence, Ă savoir quâune chanson câest un Texte + une musique + une indispensable voix, ce qui est implicitement reconnu depuis que la modernitĂ© a apportĂ© la diffusion par voie mĂ©diatique, je constate que dĂšs les origines lâinterprĂšte a Ă©tĂ© exclu de ce triptyque incontournable. Il est indĂ©niable que lâinterprĂšte effectue un travail au bĂ©nĂ©fice des crĂ©ateurs qui ne le rĂ©tribuent pas pour cela, laissant Ă dâautres le soin de le faire Ă leur place. Une pratique discutable lorsque lâinterprĂšte se produit en amateur dans un cadre non marchand et fait donc la publicitĂ© pour un produit. Depuis les origines, lâinterprĂšte a Ă©tĂ© le dindon de la farce obligĂ© de dĂ©crocher un contrat de travail afin de vivre de son art. Câest depuis le dĂ©but de lâexistence de la SACEM quâune tierce personne se doit de les rĂ©munĂ©rer au motif quâelle ferait des profits. Câest de cette obligation implicite de rĂ©munĂ©ration que se justifie la taxation SACEM. Or, une association de par son statut ne peut faire de profit. Câest Ă ce titre que jâinterpelle les autoritĂ©s pour quâune rĂ©flexion soit conduite sur le sujet abordĂ© afin de mettre un terme Ă un anomalie source de bien dâexcĂšs devenus inacceptables au yeux du citoyen dĂ©mocrate que je me veux ĂȘtre. Un citoyen soucieux du respect du droit pour tous et de la libertĂ©. 12 â RĂ©capitulatif. Ne pas pouvoir chanter sans passer par une obligation de structure est un non droit discutable au vu du caractĂšre liberticide quâil induit. Les pratiques de la SACEM et de ses affidĂ©es non soumises Ă concurrence ont-elles Ă©tĂ© de nature Ă encourager des comportements manifestement hors la loi, la question peut-ĂȘtre posĂ©e, mais au final peu importe. Une chose est certaine, les rĂšgles dâĂ©quitĂ© entre tous les sociĂ©taires de la SACEM ne le sont plus et doivent ĂȘtre rĂ©tablies. Les rĂšgles marchandes en vigueur au 21° siĂšcle en Europe sâaffranchissent de rĂšgles antĂ©rieures devenues obsolĂštes par lĂ©gifĂ©rassions ou de fait⊠Il convient donc Ă ce titre de demander aux entreprises SACEM et partenaires de revoir certains points des contrats quâils font signer aux sociĂ©taires pour ĂȘtre en adĂ©quation avec ces nouvelles rĂšgles. A cela, je veux ajouter une interrogation qui dĂ©coule de droits contestables dont bĂ©nĂ©ficient des hĂ©ritiers dâartistes au nom du droit Ă la propriĂ©tĂ© intellectuelle qui mĂ©riterait que lâon sây intĂ©resse dâun peu pus prĂšs. Pour la SACEM, le droit perçu de son vivant par un crĂ©ateur constitue son salaire. Câest ce qui est revendiquĂ© sur tous les documents quâelle Ă©met. Effectivement, les droits dâauteur font lâobjet dâune fiche de paye comme il en existe dans tous les mĂ©tiers. En consĂ©quence, il peut ĂȘtre permis de sâinterroger sur cette spĂ©cificitĂ© particuliĂšre Ă une profession qui permet Ă des franges de la population dâhĂ©riter donc dâun salaire durant 70 ans voire 100 dans certains pays⊠Les sociĂ©taires SACEM cotisent pour une retraite. Et Ă ce jour, pour toutes les autres professions, câest la seule source de revenus qui aprĂšs un dĂ©cĂšs donne droit Ă rĂ©version et uniquement Ă un conjoint qui lui survit. Des droits dâinterprĂ©tation pour un petit nombre dâĂ©lus privilĂ©giĂ©s qui passent en boucle sur les ondes. Rien pour les autres, alors que le problĂšme a toujours Ă©tĂ© ailleurs compte tenu de la loi tellement Ă©vidente Texte + musique + voix qui aurait de fait du accorder des droits Ă lâinterprĂšte oĂč quâil se produise, en scĂšne ou ailleurs. Sâajoute Ă cela que la scĂšne est et reste le lieu oĂč la valeur travail est reine. Une valeur travail non reconnue Ă un interprĂšte. Oui, quid dâun qui Ă travers une dĂ©marche professionnelle ou celle dâun passionnĂ© Ă la pratique amateur devient le vecteur, le publiciste de crĂ©ateurs souvent disparus au profit de leur descendance quand ils en ont une ou dâautres hĂ©ritiers de hasards tout heureux de gagner le gros lot. Que dois-je faire ? Alors que doit faire un citoyen comme moi qui nâa eu dâautre choix pour exister que dâinvestir dans la crĂ©ation dâun lieu aux normes qui lui a coĂ»tĂ© et dont lâentretien et les obligations affĂ©rentes ont et auront toujours un coĂ»t ? Un qui pour essayer de se faire connaĂźtre Ă lâextĂ©rieur a dĂ» louer des salles, payer une SACEM qui non seulement nâa jamais cherchĂ© Ă lâaider mais pire encore, ne respecte pas le contrat quâelle a signĂ© avec lui et qui plus est le traite comme un vulgaire » client⊠Se laisser phagocyter et ArrĂȘter de chanter pour ne pas causer de concurrence dĂ©loyale aux nantis ! Câest le discours quâil mâarrive dâentendre de la part de gĂ©rants de grandes structures, dâorganes de production par ailleurs souvent honteusement subventionnĂ©s qui produisent leurs vedettes dans des lieux publics entretenus avec lâargent public⊠VoilĂ pourquoi, Ă lâoccasion de lâinitiative du PrĂ©sident, ce courrier. Ce que jâattends ? Que lâĂ©tat Français se penche sur le problĂšme posĂ© aujourdâhui par une situation de monopole et des rĂšgles Ă©dictĂ©es hĂ©ritĂ©es dâun autre temps par lâorganisme SACEM. Quâil prenne des initiatives qui sâimposent qui sont de ses compĂ©tences au regard de lâarsenal quâoffrent les rĂšgles europĂ©ennes qui lui permettront de faire en sorte quâĂ minima, si cette sociĂ©tĂ© reste sans concurrence, elle retrouve rapidement lâobjet premier de sa raison dâĂȘtre et quâune rĂ©flexion soit entamĂ©e entre elle et ses affidĂ©s afin quâelles modernisent leurs fonctionnements et les adaptent Ă la rĂ©alitĂ© dâun monde Ă venir respectueux des droits de chacun dans lequel rĂ©gnera une lĂ©gitime Ă©quitĂ©. Des pistes Ă suivre. Concernant les ACI dits amateurs. 1- Afin dâassurer Ă certains sociĂ©taires, dont je suis, lâassurance quâils ne paieront pas plus quâils ne perçoivent de droits quand ils chantent leurs propres crĂ©ations en public sous statut dâamateur*, c'est-Ă -dire sans ĂȘtre rĂ©tribuĂ©s, de ne plus prĂ©lever un centime Ă ceux qui les diffusent sans faire de profit dans ce cadre. 2- Que de la mĂȘme maniĂšre, elle ne prĂ©lĂšve plus un centime Ă ceux qui chantent en scĂšne sous statut dâamateur des Ćuvres de crĂ©ateurs, au motif que non seulement aucun bĂ©nĂ©fice nâen est retirĂ© mais plus encore, quâils deviennent alors les vecteurs publicitaires dâun produit souvent au profit dâhĂ©ritiers passifs dont les doits courent sur 70 ans. 100 ans en Espagne ou aux Etats Unis. Concernant les ACI professionnels 3- Que plus une Ćuvre de crĂ©ateur ne puisse ĂȘtre chantĂ©e sur scĂšne dans un cadre professionnel sans reconnaĂźtre Ă ceux qui le feraient des droits dâinterprĂ©tation, aux motifs dâune part quâils sont ceux qui font vivre la chanson et dâautre part que ce droit a Ă©tĂ© reconnu Ă dâautres sur les ondes oĂč par ailleurs un petit nombre est grassement rĂ©tribuĂ© sans fournir le moindre travail. Concernant les diffuseurs 4- Concernant les droits Ă payer, que soit abandonnĂ© le systĂšme du forfait pĂ©nalisant pour les petites recettes ainsi que le choix de la taxation au mieux disant entre recette ou investissement. Un systĂšme de prĂ©lĂšvement de droits au pourcentage des bĂ©nĂ©fices de la recette et non du brut comme cela existe devrait ĂȘtre la rĂšgle universelle. Concernant crĂ©ateurs, interprĂštes et diffuseurs radio, tĂ©lé⊠5- Que soient rĂ©tablis sur toutes les radios et dans tous les lieux les feuillets qui Ă une Ă©poque y existaient, mystĂ©rieusement disparus au cours du temps, qui permettaient Ă de petits ACI de toucher des droits et aux radios de payer des droits dâĂ©mission calculĂ©s sur les diffusions effectives. Concernant les crĂ©ateurs en gĂ©nĂ©ral 6- Que soient Ă©tablies des grilles Ă©volutives et rĂ©visables annuellement qui fixeront le montant du droit dâune crĂ©ation. Concernant les utilisateurs 7- Que soient supprimĂ©es les taxations dâutilisateurs de radios, tĂ©lĂ©vision, etc⊠La plupart du temps des artisans et commerçants sous prĂ©texte quâils utilisent de la musique Ă des fins commerciales sont taxĂ©s alors que cette musique diffusĂ©e par les grands mĂ©dias a Ă©tĂ© soumise Ă paiement de droits et quâelle est audible par tout un chacun comme il lâentend. Ce que j'appelle une taxtation en cascade. Pour conclure. Dans notre sociĂ©tĂ©, les prĂ©lĂšvements visant Ă indemniser les crĂ©ateurs et interprĂštes divers dâune Ă©ventuelle spoliation de droits sont plĂ©thores. Je nâen ferai pas la liste⊠Lâapparition de lâintelligence artificielle, nouveau vecteur de diffusion de crĂ©ations via le net se rĂ©vĂšle ĂȘtre aujourdâhui une source quasi illimitĂ©e de gains au profit, dans lâĂ©tat actuel du marchĂ©, dâun petit nombre. En un an la SACEM a multipliĂ© par deux ses recettes sur la toile ! Le temps est venu, au nom dâun indispensable Ă©quitĂ© que non seulement cet organisme respecte tous ses sociĂ©taires en les traitant Ă Ă©galitĂ© dâune part et les citoyens en gĂ©nĂ©ral en levant certaines entraves Ă leur libertĂ© par des signes forts. De ces signes dont une sociĂ©te ne peut faire l'Ă©conomie si elle veut garde sa cohĂ©sion. Citoyen, Jean Claude RIBANO A- Une Ă©bauche de statut amateur. * Une Ă©bauche de statut amateur existe depuis seulement 2 ans ! Elle a vu le jour sous la prĂ©sidence de François Hollande. Un statut que je trouve trĂšs incomplet Ă bien des motifs. Il a le mĂ©rite cependant de combler en partie un vide juridique. Depuis le 7 juillet 2016, la loi relative Ă la libertĂ© de la crĂ©ation, Ă l'architecture et au patrimoine 1 pose les bases d'une dĂ©finition de l'artiste amateur dans son article 32. En voici la dĂ©finition juridique "Est artiste amateur dans le domaine de la crĂ©ation artistique toute personne qui pratique seule ou en groupe une activitĂ© artistique Ă titre non professionnel et qui n'en tire aucune rĂ©munĂ©ration. L'artiste amateur peut obtenir le remboursement des frais occasionnĂ©s par son activitĂ© sur prĂ©sentation de justificatifs. La reprĂ©sentation en public d'une Ćuvre de l'esprit effectuĂ©e par un artiste amateur ou par un groupement d'artistes amateurs et organisĂ©e dans un cadre non lucratif, y compris dans le cadre de festivals de pratique en amateur, ne relĂšve pas des articles L. 7121-3 et L. 7121-4 du code du travail." La loi prĂ©cise encore, toujours dans son article 32, un point trĂšs important "Le cadre non lucratif n'interdit pas la mise en place d'une billetterie payante. La recette attribuĂ©e Ă l'artiste amateur ou au groupement d'artistes amateurs sert Ă financer leurs activitĂ©s, y compris de nature caritative, et, le cas Ă©chĂ©ant, les frais engagĂ©s pour les reprĂ©sentations concernĂ©es." B- La SprĂ©, LâAdami, La Spedidam. Une loi de 1985 est venue reconnaĂźtre des droits appelĂ©s 'droits voisins du droit d'auteur' au profit des artistes interprĂštes et des producteurs de disques. Ceux-ci bĂ©nĂ©ficient Ă©galement d'une rĂ©munĂ©ration qui est diffĂ©rente du droit d'auteur, pour la diffusion publique de leur musique enregistrĂ©e, et ce quel que soit le moyen utilisĂ© radio, disques⊠Dans ce cas, c'est la SprĂ© SociĂ©tĂ© civile pour la perception de la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable qui gĂšre ce droit Ă rĂ©munĂ©ration. Dans un souci d'Ă©conomie et de souplesse, la SPRE a mandatĂ© la SociĂ©tĂ© des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique SACEM, pour percevoir la RĂ©munĂ©ration Equitable en son nom, auprĂšs des lieux sonorisĂ©s hĂŽtels, restaurants, cafĂ©s, salons de coiffure, magasins, cinĂ©mas, parcs de stationnement..., et autres manifestations occasionnelles bals, kermesses, banquets... La SociĂ©tĂ© civile pour l'administration des droits des artistes et musiciens interprĂštes LâADAMI est une sociĂ©tĂ© française de perception et de rĂ©partition des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle des artistes interprĂštes. Ces droits sont des droits voisins des droits d'auteur. Créée en 1955 par et pour les artistes, lâAdami gĂšre les droits des comĂ©diens, des danseurs solistes et, pour le secteur musical, ceux des artistes-interprĂštes chanteurs, musiciens solistes et chefs d'orchestre, pour la diffusion de leur travail enregistrĂ©. Le 24 fĂ©vrier 1955, Roger Bourdin, Jean Giraudeau et Pierre Olivier, comĂ©diens de leur Ă©tat avec l'aide de Pierre Chesnais ont dĂ©posĂ© les statuts d'une agence gĂ©nĂ©rale pour l'administration des droits des acteurs et musiciens interprĂštes », portant ainsi sur les fonts baptismaux l'Adami. Afin de reprĂ©senter les diffĂ©rents mĂ©tiers des artistes-interprĂštes, le Conseil d'administration de lâAdami est composĂ© de 34 membres, rĂ©partis en trois collĂšges artistiques le collĂšge dramatique, le collĂšge variĂ©tĂ©s et le collĂšge chefs dâorchestre et solistes de la musique, du chant et de la danse. Cette diversitĂ© permet aux administrateurs de lâAdami â mandatĂ©s pour trois ans par les associĂ©s - de dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts dâune seule et mĂȘme profession celle dâartiste-interprĂšte. La rĂ©partition nationale et internationale aux artistes-interprĂštes de leurs droits par l'Adami ont Ă©tĂ© certifiĂ©s ISO 9001 en 2009. Cette norme internationale garantit aux artistes-interprĂštes un contrĂŽle permanent de la rĂ©partition de leurs droits. L'Adami est la premiĂšre sociĂ©tĂ© au monde de gestion de droits d'artistes Ă obtenir cette certification. La SPEDIDAM a Ă©tĂ© fondĂ©e en mai 1959. La loi de 1985 votĂ©e Ă l'unanimitĂ© par l'AssemblĂ©e Nationale et le SĂ©nat, codifiĂ©e en 1992 dans le Code de la PropriĂ©tĂ© Intellectuelle article instaure les droits voisins au droit d'auteur et entĂ©rine le principe de l'autorisation des artistes-interprĂštes prĂ©alablement Ă toute utilisation secondaire de leur prestation enregistrĂ©e. Ces droits ont Ă©tĂ© renforcĂ©s par plusieurs directives europĂ©ennes, en dernier lieu celle du 22 mai 2001. Un certain nombre de dispositions de ces directives concernent les droits des artistes-interprĂštes, qui garantissent notamment des rĂ©munĂ©rations aux artistes, ne sont pas appliquĂ©es en France. Les artistes interprĂštes sont titulaires, comme les auteurs sur leur Ćuvre, d'un droit moral sur leur interprĂ©tation. Ce droit ne peut ĂȘtre cĂ©dĂ© et se transmet aux hĂ©ritiers de l'artiste-interprĂšte sans limitation de durĂ©e. Ils disposent Ă©galement d'un droit d'autoriser ou d'interdire la fixation, la reproduction et la communication au public de cette fixation, sa location, sa distribution et sa mise Ă la disposition du public Ă la demande. C'est le droit exclusif. C'est ainsi que les artistes peuvent contrĂŽler les utilisations secondaires de leurs enregistrements.
Ouvrir un restaurant est au cĆur du projet de beaucoup de français. Chaque annĂ©e, plus nombreux sont les entrepreneurs Ă reprendre des bars ou restaurants, ou Ă crĂ©er leur propre fonds de commence. Il est alors dâune importance capitale de bien prĂ©parer son projet Ă©tude de marchĂ©, business plan, budget prĂ©visionnel⊠Nombre dâĂ©lĂ©ments permettent dâĂ©valuer la viabilitĂ© du projet dâouvrir un restaurant ou un bar. NĂ©anmoins, un Ă©lĂ©ment est souvent omis la diffusion de musique. En effet, nombre de bars et de restaurants diffusent de la musique, quâil sâagisse simplement dâun fond sonore ou que la diffusion participe Ă lâambiance du fonds de commerce. Or, la diffusion de musique dans un restaurant ou un bar impliquera de conclure un contrat avec la SACEM. Alors, suivez le guide avec ALVEA FORMATION ! Sommaire I/ Quâest-ce que la SACEM et pourquoi recourir Ă ses services ? II/ Comment obtenir lâautorisation de diffuser les Ćuvres gĂ©rĂ©es par la SACEM ? III/ Les tarifs de la SACEM IV/ Dâautres frais ? V/ Quelles alternatives Ă la SACEM ? I/ Quâest-ce que la SACEM et pourquoi recourir Ă ses services ? La SACEM SociĂ©tĂ© des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique est une sociĂ©tĂ© de gestion de droits dâauteurs. Elle a conclu des contrats avec un grand nombre dâartistes et les reprĂ©sente lorsquâil sâagit dâautoriser la diffusion de leur musique dans les lieux publics. Sâagissant dâune sociĂ©tĂ© civile Ă but non lucratif, les redevances collectĂ©es par la SACEM sont reversĂ©es aux artistes quâelle reprĂ©sente. La diffusion de musique dans un lieu public, tel un cafĂ© ou un bar, devant obligatoirement se faire en contrepartie dâune rĂ©munĂ©ration de lâartiste, lâintĂ©rĂȘt de passer un contrat avec la SACEM est de pouvoir diffuser un large rĂ©pertoire de musique sans devoir se soucier de rechercher les autorisations individuelles de chacun des artistes, ni-mĂȘme que de leur verser chacun une rĂ©munĂ©ration distincte. Ainsi, dĂšs quâil sâagit de diffuser de la musique dans un bar ou un restaurant, la conclusion dâun contrat avec la SACEM se place en quasi-impĂ©ratif. II/ Comment obtenir lâautorisation de diffuser les Ćuvres gĂ©rĂ©es par la SACEM ? Obtenir une autorisation de diffusion du rĂ©pertoire SACEM est trĂšs simple. Pour cela, il vous suffit de vous rendre sur le site de la SACEM. Une fois votre compte personnel créé et validĂ©, il vous sera possible dâadresser une demande dâautorisation de diffusion. A noter, la SACEM peut dĂ©livrer deux types dâautorisation de diffusion Une autorisation gĂ©nĂ©rale pour la diffusion de musique dans votre bar ou restaurant ; Une autorisation spĂ©ciale, devant ĂȘtre sollicitĂ©e si vous souhaitez mettre en place des animations musicales karaokĂ©, concerts, etc au sein de votre bar ou restaurant. Attention conclure un contrat avec la SACEM et payer le forfait de droits dâauteur facturĂ© par elle vous permet uniquement de diffuser de la musique, dans votre bar ou votre restaurant, en toute lĂ©galitĂ©. La SACEM ne fournit pas les supports sur lesquels vous trouverez les musiques Ă diffuser. Il vous appartiendra de constituer vous-mĂȘmes vos playlists. A dĂ©faut, vous pouvez recourir aux services de professionnels proposant des listes de musiques prĂ©sĂ©lectionnĂ©es. III/ Les tarifs de la SACEM Si accĂ©der au rĂ©pertoire de la SACEM permet de diffuser plusieurs millions de titres diffĂ©rents, le coĂ»t dâune telle diversitĂ© nâest pas sans consĂ©quence. A Tableau des tarifs de la SACEM Population prĂ©sente dans la ville dâimplantation du bar ou du restaurant Contenance du bar ou du restaurant Ville jusquâĂ habitants Ville jusquâĂ habitants Ville jusquâĂ habitants Ville de plus habitants Tarifs spĂ©cifiques pour la ville de Paris De 1 Ă 30 places 478,21 Euros 597,77 Euros 806,97 Euros Euros Euros De 31 Ă 60 places 549,93 Euros 687,44 Euros 928,03 Euros Euros Euros De 61 Ă 100 places 632,43 Euros 790,54 Euros Euros Euros Euros Plus de 100 places 727,27 Euros 909,12 Euros Euros Euros Euros A noter, le tarif applicable est valable pour une annĂ©e. La SACEM rĂ©vise ses tarifs annuellement, avec application au 1er Janvier de lâannĂ©e pour laquelle ils sâappliquent. Par ailleurs, un forfait rĂ©duit existe pour les entreprises qui adhĂšrent Ă un groupement professionnel ayant signĂ© un accord avec la SACEM. B RĂ©ductions applicables aux tarifs de la SACEM Des rĂ©ductions sont appliquĂ©es au tarif applicable dans certains cas, notamment Si la demande dâautorisation est faite Ă lâavance, une rĂ©duction de 20% du montant des frais SACEM est applicable ; 50% de rĂ©duction si la diffusion de la musique intervient par le biais dâun unique poste de radio, sans haut-parleur supplĂ©mentaire, et que lâexploitant ne dispose dâaucun lecteur CD, DVD, ou de fichiers numĂ©riques ; 15% dâabattement pour les exploitants de bars ou de restaurants rĂ©alisant un chiffre dâaffaires hors taxe annuel infĂ©rieur Ă Euros ; 25% dâabattement pour les exploitants de bars ou de restaurants rĂ©alisant un chiffre dâaffaires hors taxe annuel infĂ©rieur Ă Euros, et dont lâĂ©tablissement se trouve dans une ville comptant au maximum habitants. Bars et restaurants Une rĂ©duction est Ă©galement applicable pour les bars et restaurants dont lâactivitĂ© est saisonniĂšre. Dans ce cas, le montant du tarif applicable est de 36% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ trois mois par an ; 48% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ quatre mois par an ; 60% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ cinq mois par an ; 72% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ six mois par an ; 84% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ sept mois par an ; 96% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ huit mois ; 100% du tarif de base pour une exploitation sur neuf mois ou plus de lâannĂ©e. Enfin, il existe une rĂ©duction en fonction du nombre de jours dâouverture du bar ou du restaurant par semaine 25% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ 1 jour dâouverture par semaine ; 33% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ 2 jours dâouverture par semaine ; 50% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ 3 jours dâouverture par semaine ; 66% du tarif de base pour une exploitation allant jusquâĂ 4 jours dâouverture par semaine ; 100% du tarif de base pour une exploitation Ă partir de 5 jours par semaine ; C Majoration applicable au tarif de la SACEM Une majoration de 50% peut ĂȘtre appliquĂ©e au tarif en vigueur un bar ou restaurant. Cette majoration est applicable si lâĂ©tablissement dispose de plusieurs appareils de sonorisation dans une mĂȘme piĂšce. NĂ©anmoins, la majoration nâest pas applicable si lâexploitant utilise uniquement deux appareils et que lâun de ceux-ci est un rĂ©cepteur radio. IV/ Dâautres frais ? Outre les frais de la SACEM, lâexploitant de bar ou de restaurant souhaitant y diffuser de la musique devra sâacquitter de la redevance SPRE SociĂ©tĂ© pour la Perception de la RĂ©munĂ©ration Equitable. Ainsi, il faudra sâacquitter dâune redevance variant de 99,38 Euros Ă 838,23 Euros. A noter si vous exploitez un restaurant ou un bar Ă ambiance musicale, vous relĂšverez directement de la SPRE et non pas de la SACEM. Dans ce cas, une redevance annuelle dâun montant minimal de 460 Euros HT est applicable. Un restaurant ou un bar est considĂ©rĂ© comme Ă©tant Ă ambiance musicale » dĂšs lors que la musique est diffusĂ©e de maniĂšre amplifiĂ©e, et que celle-ci est une composante essentielle de lâactivitĂ© commerciale de lâĂ©tablissement. V/ Quelles alternatives Ă la SACEM ? Si la SACEM dispose du plus large rĂ©pertoire musical français, le montant de ses tarifs peut ĂȘtre rĂ©dhibitoire pour certains entrepreneurs. Pour cette raison, certains sites proposent aujourdâhui des abonnements permettant de diffuser des musiques prĂ©dĂ©finies sans devoir sâacquitter des droits de la SACEM. Il est Ă©galement possible aux exploitants de bars et de restaurants de diffuser des musiques dites libres de droits ».
comment faire pour ne pas payer la sacem